Je suis militante du FPI depuis 1990, c’est-à-dire très jeune. Au fil du temps, en voyant des femmes comme Margaret Thatcher ou Ségolène Royal, je me suis dite : “Pourquoi pas moi ?” J’ai eu l’honneur de travailler avec les Vice-présidentes Christine Konan et Anne Gnahouret, qui ont largement contribué à rehausser l’image de l’OFFPI après la crise traversée par le FPI. Je salue la bravoure de ces dames, et leur engagement reste une source d’inspiration.